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20 September 2022 at 16:19 in reply to: Portée d’une panne ou d’une poutre appuyée sur des sabots. #1219
Bonjour
Désolé, je n’ai pas la réponse. L’ayant moi-même cherchée en vain, pas seulement dans le cas des sabots, j’ai fini comprendre que définir quelle est la portée de calcul à partir de la géométrie de l’ouvrage était une “patate chaude” dont personne ne veut se saisir.
Cela vaut aussi pour les normes et Eurocodes qui évitent très soigneusement le sujet.
On peut y trouver quelque pistes, par déductions et recoupements, mais rien de clair. Donc, la polémique reste de rigueur.
Seul l’EC2 béton, profitant de la nouvelle virginité que donne un ordre nouveau de réglementation, l’a précisé, pour le cas béton uniquement bien sur.
Bonjour
Je n’ai pas retrouvé le texte officiel sur le 1 / 3. Cependant, cela n’est admis que pour les éléments secondaires, de type habillages divers, et pas pour le structurel, donc pas pour des solives.
cdlt
Bonjour
Si on regarde le fonctionnement d’un sabot, on voit que le repos sur la semelle du sabot fait fléchir celui-ci entre ses “appuis” sur les parois de côté.
Pour s’y opposer, il faut visser la semelle sous le porté, de façon à rigidifier ladite semelle, diminuant ses contraintes de flexion. Des trous sont donc prévus pour ça.
L’ajout d’une pièce métallique assez épaisse entre porté et semelle, qui redresserait la flexion de la semelle, agirait dans le même sens, mais je ne sais pas comment le quantifier.
Bonjour
Peut-être Beam-stress ? Il est très orienté “ancrages”. Mais je ne le pratique pas pour pouvoir vous donner un avis dessus.
Bonjour
Je crois comprendre ce que vous voulez faire : les deux moises de la jambe enserrent l’arba, et l’âme centrale est prolongée pour être moisée par les deux pièces du poteau.
Cependant je ne comprends pas votre question sur l’apparition d’un moment dans les assemblages. Si la jambe est articulée haut et bas, elle sera uniquement chargée axialement. Qu’est-ce qui provoquerait ce moment dans les assemblages de la jambe ?
20 September 2022 at 15:12 in reply to: Absence du cisaillement dans la justification des vis inclinées 45 ° #1214Nouvelle tentative étant donné les bizarreries apparaissant dans la précédente.
Je vois que ma question n’a pas eu de succès. Mais y-a-t’il un pilote (ou même des passagers) dans l’avion ?
Je me suis trouvé une réponse comme j’ai pu, en scrutant les documents et logiciel SFS.
Il en ressort premièrement que contrairement à ce qui est prévu à l’Eurocode 5 (§ 8 tire-fonds), la valeur caractéristique à l’arrachement de la vis f ax,alfa,k ne dépend pas de alfa quand alfa est compris entre 45 ° et 90 °. Du coup, pas de composante cisaillement quand l’effort axial est entre 45 et 90°.
Et on n’en parle toujours pas si alfa diminue, mais dans ce cas c’est le fax,alfa, k lui-même qui diminue selon alfa.
Deuxièmement, l’effort de traction axial dans la vis se calcule en faisant comme s’il se forme une triangulation entre le corps de la vis dans le porté, son point d’entrée dans le porteur, et la partie du bois porté entre la vis et le porteur. D’où l’explication de la valeur de l’effort axial = V/sin(alfa) apparaissant dans la note de calcul.
C’est plus facile à visualiser sur l’image solive / poutre ci-jointe.
Avec tout cela, pas de composante cisaillement à faire figurer.
C’est Sioux, et pas immédiat à percevoir si on est « formaté » Eurocode 5, avec en ligne de mire les formules de type SRSS de combinaison cisaillement + arrachement.
Quand à la raison de la constance du f ax,k entre 45° et 90 °, je ne la connais toujours pas. On se dira, même si ça n’est que moyennement satisfaisant intellectuellement, que cela doit ressortir d’essais à l’origine des ETA spécifiques à ces vis.
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